"Back about eighteen and twenty-five I left Tennessee very much alive I never would've made it through the Arkansas mud If I hadn't been riding on the Tennessee Stud ... The Tennessee Stud was long and lean The color of the sun and his eyes were green He had the nerve and he had the blood There never was a horse like Tennessee Stud"[...] Grand classique du Country, cette chanson de Jimmy Driftwood, a été chanté par de nombreux artistes, dont Johnny Cash, dont j'ai traduit ci-dessous la version. L’étalon de Memphis (Tennessee) Dans les années vingt-cinq, j’ai laissé Derrière moi le Tennessee, très pressé. L’Arkansas jamais je n’aurais pu traverser Sans l’étalon de Memphis que je chevauchais. Avec ma fiancée, j’étais en froid Un de ses frères était un hors la loi. Je l’avais dénoncé à la justice Et j’ai fui sur l’étalon de Memphis L’étalon de Memphis filait comme l’éclair, Élancé, couleur fauve, avec les yeux verts ; Pur sang bouillant et paquet de nerf, Ce n’était vraiment pas un cheval ordinaire. Cheminant le long de la frontière Au Rio Grande, j’ai passé la rivière. J’ai parié mon cheval à la course Jusqu’à ce que l’argent et l’or emplissent ma bourse. Le parieur et moi n’étions pas d’accord ; A propos de l’étalon, mais il a eu tort De sortir son arme car il en est mort, Sur l’étalon de Memphis j’ai dû fuir encore. L’étalon de Memphis filait comme l’éclair, Élancé, couleur fauve, avec les yeux verts ; Pur sang bouillant et paquet de nerf, Ce n’était vraiment pas un cheval ordinaire. Et j’ai retraversé l’Arkansas De son frère et son père libéré la place. J’ai trouvé cette blonde, belle comme un lys, Qui chevauchait une jument de Memphis. Un joli p’tit bébé qui rit puis s’endort, Un gentil p’tit poney gambadant dehors ; J’aimais la blonde belle comme un Lys Et l’étalon aima la jument de Memphis. L’étalon de Memphis filait comme l’éclair, Élancé, couleur fauve, avec les yeux verts ; Pur sang bouillant et paquet de nerf, Ce n’était vraiment pas un cheval ordinaire. (Traduction : Polyphrène) |